Consigne : suite à la lecture de I love New York, raconter dans un texte court l'évènement historique qui vous a le plus marqué et comment vous en avez été informé.
J'étais petite, mes parents m'avaient emmenée chez ma sœur pour un repas de famille, ceux qui se font rares aujourd'hui. On avait allumé la télé, c'était le journal de 20h. Et là, je vis les premières images que mon esprit enregistra avec terreur. Le Tsunami.
On pouvait voir les conséquences désastreuses, des centaines de maisons détruites , avalées par la rage de la mer , un paysage anciennement paradisiaque ressemblait enfin à un enfer abandonné. Des blessés défilaient devant nos yeux ébahis , le nombre de morts se faufilait vicieusement dans nos oreilles, des témoignages ne cessaient d'être accentué par des cris, des larmes, encore des cris, encore des larmes ...
Ma famille observait ces images avec pitié et attention, trouvait les mots pour en discuter et en débattre, en chercher des causes, des raisons, des pourquoi là où il n'y en avait pas.
Moi, je ne pouvait simplement plus les regarder, ne put finir mon assiette, ne put dire un seul mot.
Laurins Marine
jeudi 4 décembre 2008
Atelier du 18/11/08
Consigne : suite à la lecture de I love New York de Philippe Guéguen, raconter dans un texte court l'évènement historique qui vous a le plus marqué et comment vous en avez été informé.
Mon 11 septembre 2001:
Je me souviens
En allumant TF1
Les Tours Jumelles
Si belle
Mourir des ailes d'un avion
Dans un souffle gris
Descendre de leurs lits
Tout en bas les gens crient
La police, les pompiers essayent d'étouffer les cris
les gens terrorisés pleurent leurs amis
Les amis monte au ciel
Les tours jumelles aussi.
Maintenant , un trou
Le trou de souvenir qui déchire
Les minutes de silence
On y repense
ADIEU mais a demain
Dans un nuage peut-être gris
mardi 2 décembre 2008
Atelier du 18/11/08
Consigne : suite à la lecture de I love New York de Philippe Guéguen, raconter dans un texte court l'évènement historique qui vous a le plus marqué et comment vous en avez été informé.
Tout a commencé un soir de fin d’été, près des vieux building new-yorkais.
Ma mère a allumé la télévision et mis les informations, ce fut alors un choc, ce fut un bloc, c’était pire qu’une agression.
Un acte inimaginable s’était produit, les Twin Towers elles-mêmes avaient été démolies. Avec mon entourage, nous étions assis sur le canapé, à regarder les images, nous assistions à un vrai carnage.
Les vies basculaient du tout au tout de tour en tour. Un nuage noir envahissait la ville, dans un vacarme aussi puissant qu’un orage, les larmes coulaient à flots, et je ne vous parle pas de météo.
Les new-yorkais couraient dans un bruit sourd, dans un bruit lourd. Par terre il y avaient des débris de polyester, des débris de fer ; des débris de verre, des débris de pierre. C’était sûrement pire que la guerre, en tous cas c’était pire que l’enfer.
Cette événement sera gravé dans ma mémoire, sera gravé dans l’histoire.
Alors je demande aux Hommes d’arrêter ce genre d’erreur, afin d’éviter ce genre de peur, afin d’éviter tous ces malheurs.
Thomas DAVID
Tout a commencé un soir de fin d’été, près des vieux building new-yorkais.
Ma mère a allumé la télévision et mis les informations, ce fut alors un choc, ce fut un bloc, c’était pire qu’une agression.
Un acte inimaginable s’était produit, les Twin Towers elles-mêmes avaient été démolies. Avec mon entourage, nous étions assis sur le canapé, à regarder les images, nous assistions à un vrai carnage.
Les vies basculaient du tout au tout de tour en tour. Un nuage noir envahissait la ville, dans un vacarme aussi puissant qu’un orage, les larmes coulaient à flots, et je ne vous parle pas de météo.
Les new-yorkais couraient dans un bruit sourd, dans un bruit lourd. Par terre il y avaient des débris de polyester, des débris de fer ; des débris de verre, des débris de pierre. C’était sûrement pire que la guerre, en tous cas c’était pire que l’enfer.
Cette événement sera gravé dans ma mémoire, sera gravé dans l’histoire.
Alors je demande aux Hommes d’arrêter ce genre d’erreur, afin d’éviter ce genre de peur, afin d’éviter tous ces malheurs.
Thomas DAVID
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